Le transport fluvial reste limité à moins de 1 % des usages de transport de passagers à Lagos, alors que la capitale économique nigériane est asphyxiée par les embouteillages terrestres et qu’elle est à plus de 20 % constituée d’eau. Limité jusqu’à présent dans ses dessertes, pas assez sûr, le transport par bateau pourrait cependant changer d’échelle à Lagos grâce à un projet de modernisation de 410 millions d’euros.