L’annonce des futures sanctions américaines contre la société d’État serbe Naftna Industrija Srbij (NIS), détenue à 56,15 % par la société russe Gazprom, a provoqué des remous jusqu’en Angola.
L’annonce des futures sanctions américaines contre la société d’État serbe Naftna Industrija Srbij (NIS), détenue à 56,15 % par la société russe Gazprom, a provoqué des remous jusqu’en Angola.